Des films, des livres... Des chansons
Un centre qui reçoit des adolescents en rupture scolaire, en rupture sociale, en rupture tout court, des éducateurs, un journaliste, un vieil architecte, une mère qui a perdu son fils, une mère qui se rappelle une vie passée, une grand-mère qui soutient sa famille, ses enfants venus de Tunisie, ses petits-enfants, c’est une mosaïque de vies, de personnages qui s’évitent, qui s’entrechoquent, qui se rencontrent et qui se parlent et s’aiment parfois. Bien sûr il y a François le directeur de centre, bien sûr il y a Catherine, professeur et militante de cœur, la mort de Joël, vingt-cinq ans, lue dans Nice-Matin, les banlieues qui brûlent mais où l’on vit aussi… Tout cela sous le soleil niçois :
Le prix qu’ils paieront.
4ème de couverture de Soufiane Ben Farhat:
Daniel Lance commet son premier roman. Un mélange tordu mais poignant, fascinant même, entre la sensualité et la mort. A mi-chemin entre la lumière d'Arles et le voyage au bout de la nuit.
Tel cet illustre voyageur qui s'est arrêté à Venise, sur le pont des soupirs, entre un palais et une prison. Un regard de méditerranéen écorché vif. Un scrutateur au scalpel des structures de l'administration qui n'en finit pas de réinsérer dans la boue, la fange, l'exclusion. Daniel Lance nous sussurre en quelque sorte, avec son sourire grinçant : « vous vivez mal, messieurs »...
Des livres... 3 essais et
un premier roman :
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